30 octobre 2006

C'est mieux quand on est deux à bricoler...



Des nouvelles de ces deux derniers week-end de travaux ?

Oui donc, rapidement... le 22 Oct, ce n'était pas dehors qu'il faisait 38.9°C, mais dans mon corps... donc je n'ai... rien fait... à part dormir et regarder Rémy monter les portes du meuble du bureau et l'armoire de la chambre. Les travaux, c'est mieux à deux !

Et le 28 Oct, nous avons démonté le coffre du rideau au dessus de la fenêtre de la cuisine, fini de détacher les carreaux du mur, et poncé la f
enêtre de la cuisine.

AVANT - APRES :
En lisant ça, je suis un peu septique, j'ai l'impression que ça n'avance pas. Je crois que tant que nous n'en serons pas aux finitions, les travaux n'auront rien de bien flagrant...
Pour le moment, nous passons le samedi dans les magasins de bricolage (et aussi de vêtements des fois !) et le dimanche après-midi à bricoler.

L'enclenchement de la vitesse supérieure sera de faire les magasins en semaine et les travaux le dimanche ET le samedi. Mathématiquement, on avancera deux fois plus vite.
Il ne nous reste plus (ou "il nous reste" ! soyons optimistes !) que sept week-end avant celui de Noël, dont un où nous ne serons pas là, et peut être plusieurs samedi à chercher des cadeaux de Noël (véritable soucis à l'heure actuelle, plus important que les travaux au niveau prise de tête).

16 octobre 2006

Apprentissage des gros-oeuvres



Ca, y'est ! ça a vachement avancé !
- on
a acheté un radiateur sèche-serviettes pour la salle de bain (ça caille avec cette andouille de vitre pleine de trous !)
- on a presque tout enlevé les carreaux de la cuisine (restent ceux au dessus de l'espèce de chose qui tient l'évier et qui nous sert de pose-micro-onde).

- on a acheté un meuble pour le rangement dans le bureau (enfin, le squelette du meuble, restent les portes à choisir).
- on a mis le futon à la place du clic clac (qui n'est toujours pas vendu.. donc il est dans le salon maintenant...)
- on a trouvé une idée pour ranger les vetements dans notre chambre (donc on retourne à Ikea vendredi prochain).


et... !

roulement de tambour !!!

- on a démoli les cloisons en trop autour de la porte de la cuisine et autour de la porte de la salle (avec la fenetre) !
Des gravats partout, de la poussière de plâtre et de béton jusque dans les trous de nez, un plafond à raccorder, une gaine électrique qui pendouille, des raccords de parquets à faire, des bouts de verre éparpillés, 2h de bruits de 14h à 16h (on s'est timé comme des pro !), un chat qui dors au soleil, moi avec des lunettes de soleil de pouf en guise de lunette
s de protection. <- trouver l'intru ! Résultat, ben on était tout contents et tout fiers de nous ! on regarde l'heure de fermeture de la déchetterie, histoire de classer l'affaire et de ne plus entendre parler des restes du désastre...
On charge la voiture, on sangle le coffre ouvert, on part, avec les chambranles poussiéreux et clouteux entre nous deux !

Et là, surpriiiiiise : La déchetterie fermée !! demi tour vers une autre ! on nous ferme la porte au nez !
Retour au bercail avec les gravas.... dégoutés...

Ca a assommé notre motivation :
Il est parti jouer de la guitare pour oublier, et moi j'ai fini silencieusement d'effacer les traces de l'éboulement avant de faire à manger.

On s'est endormi à 23h30 devant la télé. Crevés, et aigris que le week-end se termine.

Et ?
Ah bâh oui, je vous ai pas dit comment qu'c'était bien maintenant !
De la lumière tu as voulu, de la lumière tu auras ! En entrant dans l'appart, on a l'impression d'être dans le salon, une grande bouche nous attire à lui maintenant, avec la lumière de la cuisine qui ose s'aventurer jusque dans le couloir !
On ne pourra plus regarder la télé pendant qu'une lessive tourne à présent (c'était le seul avantage d'avoir une porte).
Mais quand un de nous deux glande dans le canapé, celui aux fourneaux le voit ! (ou inversement !)

13 octobre 2006

Rideauuu !…


Bon, voici la première photo de notre appartement (‘fin, du miens, mais c’est quand même le notre).
Ca donne hein !
Non ? ah…. nan nan, c’est pas provisoire…Pourquoi on dirait ?
C’est juste qu’il y a encore eu une porte victime de mon rejet de ces choses qui servent à boucher hermétiquement une pièce (que j’aime les lofts !).

Bon, avant tout débat artistique ou esthétique, parlons technique (tic tic !) :
On a mis un rideau (bon d’accooord : J’AI mis un rideau), parce que la porte du cellier (oui, tout ça pour un vulgaire cellier vous me direz…) s'ouvrait vers l'intérieur, ce qui gâchait une place monstre (j'ai en effet un pêcheur bien équipé à la maison maintenant, il me faut du rangement). Donc, j’ai enlevé la porte.

Pour vous prouver le rejet : arrivée dans l’appart à huit portes (pfiouuu ! et encore je n’compte pas la porte d’entrée !), j’en suis à six aujourd’hui, avec un objectif à cinq (dont une coulissante ; sa naissance vous sera sûrement contée dans un prochain épisode).

Nous pourrions atteindre les quatres portes (le minimum vital ; je ne me vois pas sans porte aux toilettes et avec l’impossibilité de bloquer le chat en dehors des chambres !), MAIS grande preuve de notre intelligence (ou de notre prévoyance comme vous voulez), nous gardons une alternative en cas de renouvellement de crise urinaire du poulet : on l'enfermera dans la zone WC/SdB/cellier/p’tit couloir.

Ce week end, on anéantit peut-être celle de la cuisine.

On enchaîne sur l’esthétisme, j’ai cru en entendre rire au fond de la salle là bas !
Qu’est ce que j’entends ? « Ce rideau est un peu court non ? et peut être pas assez lesté… Il manque pas un coup de repassage ? … Ce sont des vraies fleu
rs ? et pourquoi un rideau ?»
Pour la dernière question, j’ai déjà traîté.

Sinon…
Oui, ben pour la hauteur…, ben tiens parlons-en de la hauteur !!!
Je l'achète, fainéante, je l’déballe, je l'pends (la tringle attendait depuis déjà quelques semaines).

Résultat : il balaye le sol sur 20cm....
Je me dis ; j'ai pas envie de faire un ourlet....

Ensuite IDEE ! je vais le laver !
Je le lave, je le sèche, je le repasse même !
et... je le pends... Ah ben ça a bien marché l’idée du rétrécissement à la machine ! trop même !
Super, maintenant, il va à la pêche aux moules mon rideau...mon rideau rose…

Pour finir sur la touche artistique :
Vous remarquerez également le lustre au plafond, design et épuré, effet provisoire complètement hype ! comme les L. l’aiment tant...
On pourrait y accrocher des fils de fer avec des p’tits papiers au bout que ça donnerait l’illusion d’un luminaire à 400€ des boutiques design !
‘Faudra quand même pas mettre le feu, ce serait dommage de l’abîmer à ce prix là…. O_o …. Ah non, suis-je bête…

Petit virage …



Je vais partir sur des posts (pour Grand-Mère : des « posts », ce sont les messages qui composent un blog) un peu plus… « légers »… je dirais…


Enfin…, sur des messages un peu moins « phylosophiques »…

Mouais non, en fait nettement moins !, mais qui seront gravés ici…

L’objectif de mon blog étant de garder sagement des choses que j’aimerai relire plus tard, cette décision ne tranche pas avec l’origine de cette création de site, remarquez !…

05 octobre 2006

Le jeu du facteur...


Stage "être acteur de progrès" : Après un peu moins de 48h passées ensemble, le jeu du facteur est lancé : Tout le monde va devoir écrire un petit papier pour chacune des personnes présentes.
Thèmes : Trois forces que l’on ressent chez la personne, et une voie de progrès qu’on lui conseille.
Les petits mots sont placés en petitspaquets, par destinataire….
Quand Patrick frappera dans ses mains, le silence se fera, lourd, chargé d’émotions, les participants se plongeant dans les pensées des autres à l’ouverture de leur "courrier"…


- - - - - - - - -

Patrick
Forces :
« - J’aime ton authenticité, tu dis ce que tu penses, au moins, il n’y a pas de non-dit
- Tu es sensible, une capacité à écouter, à exploiter
- Volonté de comprendre les gens et dépasser les a priori
- Ouverture
- Dynamique, capable de beaucoup de travail »

Voies de progrès :
« - Arrêtes de t’auto flageller : Si tu es là, c’est pour tes qualités, y as-tu déjà pensé ?
- Apprends à voir et accepter ce que est bien en toi
- Ecoutes-toi, sois généreuse ; regardes ce que tu reçois et savoures-le
- Changer pour changer, ça ne sert à rien. Donnes-toi une finalité, une vision et ensuite, avances »


Julia
Forces :
« - Tu sembles aimer le partage, tu es là pour donner de ta personne et apprendre des gens
- Tu as une grande capacité d’acceptation et donc d’objectivité (rare). Tu me sembles avoir un bon sens des réalités
- Tu sembles être très honnête avec les personnes qui t’entourent »

Voie de progrès :
« Je te trouve dure avec toi-même, malgré ton objectivité générale… dû peut-être à ton manque d’assurance. »


Patrice
Forces :
« - Rigoureuse : J’ai ressenti que tu appréciais les choses claires et structurées
- Attentionnée : Tu sais faire passer ou recevoir de l’émotion
- Analyse : Très à l’écoute avant d’intervenir »

Voie de progrès :
« Confiance en toi : Je pense que cela peut t’aider à vaincre tes problèmes de communication. »


Anne-Christine
Forces :
« - Tu fais un énorme travail sur toi, tu analyses beaucoup pour essayer de trouver des solutions
- Beaucoup d’humour
- Beaucoup de sincérité »

Voie de progrès :
« Tu es trop dure avec toi-même, il faut que tu t’aimes toi-même »


Aline
Forces :
« - Sincérité : Tu donnes envie de te faire confiance car dis les choses avec franchise
- Le calme, la tranquillité : Tu parles avec assurance et semble vraiment à l’aise. Je te vois posée.
- L’humour : Je te trouve plutôt rigolote, souriante »

Voie de progrès :
« Oser t’ouvrir d’avantage vers les autres et t’imposer »


Jean-Marie
Forces :
« Je ressens chez toi une personne sensible, protectrice »

Voie de progrès :
« Ne pas toujours être sur la défensive »

Lionel
Forces :
« - Tu es intéressante à écouter
- Tu es une battante
- Tu es attentive »

Voie de progrès :
« Je te trouve soucieuse »


Eric
Forces :
« - Tu es accueillante rapidement avec les gens inconnus
- Tu dis ce que tu penses
- Tu es sérieuse dans ton boulot même si tu as une période de doute en ce moment »

Voies de progrès :
« Arrêtes de te sous-estimer »

Bruno
Forces :
« - Vouloir bien faire
- Demandeuse de travail
- Et un côté de sensibilité »

Voie de progrès :
« Sois moins impulsive »


Carole
Forces :
« - Tu es sûre de toi, tu as confiance en toi
- Sincère et directe
- Drôle et très touchante »

Voie de progrès :
Travailler sur toi-même pour changer ta vision des autres sur toi »

02 octobre 2006

Moi... faite de contradictions



Je réfléchis depuis un temps sur LA REMISE EN CAUSE.

Je me rends compte en effet, de deux de mes comportements que l’on pourrait qualifier de contradictoires, mais qui, pris séparément, me représentent tout à fait
- je m’adapte vite à toute situation, ou à toute nouvelle chose… Je m’en suis tellement accommodée que j’en oublie l’état des choses passée, qu’il ait été meilleur, ou pire.
- Je n’aime pourtant pas la perspective d’un changement. Peut-être pourrait-on voir ici apparaître mon trait de caractère dominant : la faineantise

Parenthèse sur ce trait de caractère :
Ma faineantise à moi se caractérise ainsi :
- je n’aime les contraintes que lorsque vient le moment de les accomplir.
- il m’arrive de ne pas avoir envie de faire ce que pourtant j’adore faire
- je me contente du cran juste au-dessus du minimum (ne s’applique cependant pas à tout)
- je suis consciente de ma flemme et j’essaie de penser à la soigner (tournure volontaire de la phrase !)

Tout ça pour retomber sur le fait que :
Je n’aime faire ce que je dois faire que lorsque j’ai envie de le faire
J’aime donc l’autonomie en quelques sortes, de façon à décider de ce que je vais faire sur le moment présent.
Mais comme il faut me pousser pour me motiver et me dire ce que je dois faire pour que ça me pousse à le faire… comment allier cela avec l’indépendance ? Je pense ici en particulier dans la (ma) vie professionnelle…


Et pourtant, j’aime la nouveauté
J’explique :
- je ne finis pas pour commencer quelque chose de nouveau : je commence le schampoing que je viens d’acheter avant de finir l’ancien flacon (et c’est pareil pour tous les consommables : produits ménagers, chocolat, pâtes, chewing gum, etc…),
- « je n’ai jamais rien à me mettre » si je n’ai pas de nouveaux vêtements,
- quand un objet nouveau arrive chez moi (un meuble, un objet…), cela m’incite à tout ranger et mettre en place les affaires autour, la pièce, voire l’appartement.
- Je déniche tout le temps les innovations dans les magasins, et aime me faire mon avis.


La morale, c’est que je devrais plus souvent me remettre en cause, en oubliant les difficultés du changement, et en pensant à l’après…
En plus, cela a l’air de me réussir ces derniers temps.
Les décisions dures amènent souvent du mieux.


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Tout ça est bien brouillon, cela virevoltait au-dessus de ma tête et j’ai essayé de tout attraper pour l’écrire, ce n’est pas facile de mettre tout dans l’ordre, ça part dans tous les sens.
Je souhaitais poser ces ressentis, pour pouvoir les relire plus tard.
Le mode d’emploi de Citizen est bien compliqué… le propre de l’être humain…