26 août 2008

Grosse peur cette fois-ci...

Voici le chaton qu'aurait pu être mon matou si je l'avais connu tout bébé... mignon non ?
C'est ce que je me disais hier ; que j'aurais bien voulu voir sa bouille de petit chat à mon gros chat-chien...
Ce soir, on se dit juste qu'on a de la chance qu'il soit encore avec nous, en entier et en forme...


Nous revoilà reparti pour le récit de février, celui qui raconte comment mon chat kamikaze décide d'aller dehors par ses propres moyens.
Par "aller dehors", je veux bien sûr parler de descendre en bas du bâtiment...
Et "par ses propres moyens" signifie : en chutant de la rambarde du balcon du 3ème étage.


Alors oui, on remplit la condition du "si et seulement si la chute est de plus d'1m50 et si la vitesse du chat au décollage est nulle, l'individu poilu retombe sur ses pattes".
Ici, ce n'est pas la vitesse du chat qui est nulle, c'est lui... (^^,)

Sur ce coup, on valide le jamais deux sans trois de la légende.
Et oui, car c'est la troisième fois que monsieur trouve la solution la plus rapide pour descendre ! Mais capitalise-t-il sur ses erreurs ou est-ce trop lui demander ?
La première fois, le calmant dans ses veines n'a pas dû l'aider... OK

La deuxième fois, entre avoir bu un coup dans le verre de Sophie ET avoir eu envie de jouer avec un papillon de passage au troisième, je ne vois pas d'explication plausible à son envol.

La troisième fois, j'hésite entre :
- le chat coincé depuis un peu longtemps sur la balcon par un coup de vent qui ferma la fenêtre
- le chat bête qui ne sait plus qu'il est déjà tombé et qui continue ses idioties de passages entre les deux balcons
- le chat suicidaire parce que je le repousse le soir lorsqu'il patine sur mon ventre

Bon, pour l'histoire, il est tombé en notre absence et a donc passé l'après midi en bas, prostré, et peut être embêté par les enfants grâce à qui on l'a heureusement repéré.
L'inquiétude est venue du fait qu'il se cache sans vouloir s'approcher de nous, de miauler faiblement, d'être tout gonflé des poils comme s'il avait froid, de se déplacer faiblement, et de ne pas retrouver ses esprits aussi vite que les dernières fois.

On l'a donc emmené chez un vétérinaire de garde (il était tard) qui nous a bien rassuré, en disant quand même que le pépère était un miraculé.


2 commentaires:

Anonyme a dit…

'Faudra quand même penser à mettre un “garde-chatfou”.

Anonyme a dit…

Elle aime les sensations fortes dis donc cette boule de poil!!!Ca me rassure cette fois ci je n'ai pas pu me sentir responsable de ce saut à l'élastique...sans élastique!Gros bisous.